Le Real Madrid affirme que tout ce qui peut être fait à distance a déjà été fait, mais les réunions finales restent à venir. Le rôle de Rafael Obrador est essentiel.
Le Real Madrid et Benfica progressent vers la conclusion d’un accord qui, comme le temps l’a montré, n’a pas été aussi simple qu’annoncé. D’ailleurs, personne n’est encore prêt à se réjouir , à commencer par Álvaro Carreras, qui a déjà pu constater de visu comment Benfica gère les négociations de transfert.
En fait, l’accord semblait parfois impossible compte tenu de la position de Benfica, qui a tout donné à l’approche de la Coupe du monde. L’anticipation du moment opportun et le travail habile de Ginés Carvajal , l’agent du joueur, ont été déterminants pour mettre fin à cette situation.
À Palm Beach, où l’équipe du Real Madrid s’entraîne jusqu’à mardi après-midi, des travaux sont en cours pour avancer vers un accord qui n’est pas encore finalisé, mais qui est très proche d’être finalisé. Malgré ce qui a été dit, comme ce fut le cas il y a plus d’un mois, rien n’a été signé entre Benfica et le Real Madrid , et comme deux des parties concernées l’ont déclaré hier à MARCA, tant que l’accord n’est pas scellé, signé et traité, la victoire ne peut être proclamée.
En réalité, le Real Madrid affirme que tout ce qui pouvait être fait à distance a été fait, mais que les réunions finales restent à venir et, bien sûr, la signature d’un accord bien ficelé, dans lequel plusieurs joueurs (footballeurs) ont été impliqués. La lumière du jour est apparue lorsque Benfica a recruté Rafael Obrador, un joueur arrivé au Real Madrid en tant que jeune joueur et prêté au Deportivo La Corogne cette saison. Ils le voient comme un potentiel potentiel pour un nouveau transfert à terme, un joueur capable de multiplier sa valeur en peu de temps.
Élections
Le club lisboète reste embourbé dans une crise institutionnelle importante, avec quelques démissions et la question de savoir si Rui Costa se présentera ou non aux élections , après que les membres ont rejeté le budget présenté pour la saison prochaine.
L’accord n’implique pas le paiement de la clause libératoire de 50 millions d’euros. Benfica a finalement compris qu’il était obligé de négocier compte tenu de la décision du joueur de retourner dans son ancien club. Si l’accord est finalement finalisé pour 40 millions d’euros , Benfica multipliera les huit millions versés l’été dernier, et United recevra également une compensation.
L’arrivée sur la scène d’Obrador, un footballeur pour lequel le Real Madrid continuera à maintenir une option, et la volonté des dirigeants du Real Madrid de ne pas laisser tomber Carreras , qui a tout fait pour venir, ont été les facteurs qui permettront de conclure un accord qui semblait parfois impossible à réaliser.
Contrairement à une idée reçue, les deux transactions seront indépendantes. Carreras sera évalué séparément, tandis qu’Obrador le sera. Benfica est coté en bourse et ses administrateurs sont tenus de veiller à ce que l’ensemble des informations soit rendu public une fois la transaction finalisée.
